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L'HISTOIRE DES GÎTES DE FASSEMALE

L’origine du site de Fassemale : quelques pierres et une envie

En 1980,  Evelyne et Michel Turquet décident de s’installer à Fassemale. L’ancienne bergerie visible sur ces photos est remontée pierre par pierre.

Maçonnerie, plomberie, électricité : Evelyne et Michel ne ménagent pas leur peine pour faire en quelques années de Fassemale un petit coin de paradis. En 1982, le bâtiment est hors d'eau; en 1983, le site est raccordé au réseau électrique, et le premier enfant d'Evelyne et Michel voit le jour.

En 1993, une piscine agrémente le charme du site. Deux gîtes sont aménagés : Origan et Romarin.

THE FARM

Ciboulette et Estragon sortent de terre (!) en 2004, à quelques dizaines de mètres du corps de logis de manière à préserver le calme et l’intimité de tous les occupants.

Et aujourd'hui ?

Aujourd'hui Fassemale c'est 4 gîtes et une cabane en plein cœur de l'Ardèche et de la région Rhône-Alpes. Ces gîtes, référencés sur Gîtes de France, sont classés 3 épis et vous offriront un confort optimal pour vos vacances.

Chaque été, de nombreuses familles décident de passer leurs vacances dans les gîtes pour allier soleil et tranquillité. Nous sommes d'ailleurs heureux de constater que certains reviennent d'une année sur l'autre.

En même temps, on les comprend, un gîte avec piscine en Ardèche, on fait difficilement mieux n'est-ce pas ?

L’origine du nom de Fassemale

En patois du pays, « Fassemale » signifie littéralement "mauvaise face". En effet le ravin de Fassemale se situe au sommet d'un col sur l'ancienne voie venant de Nîmes, qui passait par Chomérac et montait à St. Bauzile par une route sinueuse et escarpée d'où l'on peut avoir par beau temps - ce qui n'est pas exceptionnel chez nous -  une vue extraordinaire de la vallée du Rhône jusqu'au Vercors.

 

Au sommet se trouve un replat qui mène à un  pont en virage surplombant le ravin de Fassemale.

 

L’endroit était fréquenté par des bandits de grands chemins qui y attaquaient diligences et cavaliers, dont les chevaux fourbus par l’effort qu’ils venaient de consentir étaient incapables de fuir.

 

Il se dit même que le célèbre Mandrin qui détroussait les riches pour donner aux pauvres se serait mis au vert quelques temps à St. Bauzile. Qui sait s'il n’y a pas participé à quelques exactions, contribuant à la sinistre réputation du ravin de Fassemale ?

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